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Le Conseil administratif de la Ville de Genève veut apporter son soutien à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Il soumettra au Conseil municipal un projet de résolution afin de lui accorder une aide exceptionnelle de 500'000 francs.

Par ce geste, Genève souhaite rappeler la nécessité de donner les moyens suffisants à l’un des seuls acteurs encore capable d’apporter une aide substantielle aux populations locales.

Epine dorsale de l’opération d’aide à Gaza, les opérations de l'UNRWA sont d'autant plus cruciales à l’heure où la situation humanitaire continue à se détériorer de manière inquiétante, soulignent les autorités de la Ville.

Le Grand Conseil valaisan a accepté jeudi après-midi la loi sur la santé. Après avoir examiné une quarantaine d'amendements, les députés ont finalement entériné la loi par 106 voix contre 21. Tous les groupes, à l'exception de l'UDC, se sont dits satisfaits.

Les députés ont notamment salué l'ancrage dans la loi de l'interdiction des thérapies de conversion. Elles sont jugées "discriminatoires, cruelles, inhumaines et dégradantes par l'ONU", a souligné le chef du Département de la santé Mathias Reynard.

Aujourd'hui, "nous envoyons un signal clair qui dit que ces thérapies de conversion sont inadmissibles et n'ont pas de place en Valais", a-t-il appuyé.

Breathe, une sphère lumineuse et sonore, a pris place sur la plaine de Plainpalais à Genève. Imaginé par Dan Ach, ce dôme de 15 mètres de diamètre invite la population à ralentir le rythme et à respirer lentement, à l'unisson, dès la nuit tombée.

Cinq respirations par minute, soit six secondes d'inspiration et six secondes d'expiration: c'est le rythme que donne Breathe en variant sa luminosité pour atteindre un état de détente et de connexion profonde.

Connu des Genevois, l'"artiviste", comme il se définit lui-même, est également à l'origine des pianos en libre-service. L'installation est à tester en pleine conscience jusqu'au 26 mai.

Le profil de l'assaillant qui a blessé 6 personnes mercredi à Zofingue (AG), dont 2 grièvement, a été précisé. Il s'agit d'un Espagnol de 43 ans présentant un "comportement psychique inhabituel", selon le Ministère public, ajoutant qu'il n'existe aucun contexte terroriste en l'état actuel de l'enquête.

Les motivations de l'assaillant, qui s'est servi de différents couteaux, n'ont pas encore été établis. La police penche pour acte isolé et a levé les mesures de sécurité prises à Zofingue.

Les personnes grièvement blessées sont toujours hospitalisées, a indiqué jeudi la police cantonale argovienne. L'auteur de l'attaque se trouve lui aussi à l'hôpital, en observation.

Une nouvelle occupation pro-palestinienne a débuté jeudi à la mi-journée sur le campus de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), a indiqué la Coordination étudiante pour la Palestine. Il s'agit d'un sit-in "pacifique et qui ne bloque pas les salles de cours" dans le hall du bâtiment d'architecture, selon le collectif.

En début d'après-midi, quelque 50 personnes participaient à l'occupation, selon un porte-parole de l'EPFL. La direction indique ne "pas tolérer cette occupation et attend que les personnes quittent les lieux d'elles-mêmes".

Le collectif dit espérer qu'un dialogue ait lieu et enjoint l'EPFL à ne pas faire à nouveau appel à la police.

La Fédération internationale de football association (FIFA) décidera vendredi à Bangkok si Zurich doit continuer à figurer dans ses statuts comme siège principal de l'association.

"La FIFA est heureuse en Suisse", a réagi son directeur des relations média Bryan Swanson. "Jusqu'à ce que nos membres en décident autrement, Zurich restera notre siège social", a-t-il poursuivi, avant de menacer: on dit aussi très clairement que "si des allégations fausses et trompeuses continuent de viser la FIFA, nos associations membres pourraient penser que nous ne sommes pas bienvenus à Zurich".

La Ville, elle, dit ne pas être au courant d'un projet concret de départ.

Entrée en vigueur il y a 10 ans, la LAT1 fait ses preuves, montre une étude commandée par l'Office fédéral du développement territorial publiée jeudi. Cette révision de la Loi sur l'aménagement du territoire voulait ralentir le mitage en construisant les nouveaux bâtiments dans des zones déjà bâties.

L'étude montre qu'entre 2018 et 2022, 59% de tous les permis de construire pour des logements ont été accordés sur des parcelles déjà construites, comme d'anciens sites industriels réaffectés, des bâtiments existants surélevés ou encore des reconstructions.

En parallèle, une diminution des constructions dans les zones à bâtir encore vides a été constatée.