Accusations de l'ONU
L'ex-gouvernement du Bangladesh et les forces de sécurité ont perpétré l'année dernière des actes équivalant à des crimes internationaux face aux manifestants, accuse l'ONU. D'autres investigations devront établir s'ils sont responsables de crimes contre l'humanité.
Les manifestants avaient exigé l'abolition d'un système de discrimination positive qui réservait un quota d'emplois publics aux familles des vétérans séparatistes. Celui-ci avait été rétabli en juin 2024 par la justice, mettant le feu aux poudres, avant un nouveau retournement en juillet de la Cour.
Selon des sources crédibles, jusqu'à 1400 personnes ont été tuées et des milliers ont été blessées en un mois.